En termes de sorties, la taille des données générées est variable selon la résolution du GCM, le nombre et le type de variables, leur fréquence d'écriture.
Considérons un exemple représentatif : on simule une planète dont le jour solaire est de 24h et l'année dure 100 jours, avec une grille de type latitude-longitude, avec respectivement 48 et 64 points dans ces dimensions, 20 niveaux verticaux, ce qui donne 92160 points. On souhaite étudier la circulation atmosphérique, pour cela on génère des données de vent zonal, méridien et vertical, et des données de température. Ces 4 champs atmosphériques sont écrits 6 fois par jour de simulation, soit 600 fois pour une année. Ceci nous donne un total de 55 296 000 valeurs par année. Représenter ces valeurs au moyen d'un octet est suffisant, ce qui nous donne un peu plus de 50 Mo de données générées par année de simulation. Ceci reste un cas simple avec le minimum de variables nécessaires pour étudier la circulation tridimensionnelle de l'atmosphère.